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Catégorie : Collège
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Publication : samedi 17 October 2015 21:23
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Écrit par La Voix du Nord - Mardi 17 février 2009 - M.T
Samedi matin, la pastorale de l'Institution Saint-Jude a profité de l'opération « portes ouvertes » pour remettre à Emmaüs Val-de-Lys des denrées récoltées par les élèves du collège. "Les produits sont là, sur la table, attendant que le camion d'Emmaüs vienne les chercher. Il y a un peu de tout : du chocolat, des pommes de terre, des boîtes de conserve... Ils peuvent être fiers, les élèves de cinquième, car ce sont eux qui ont organisé la collecte tout seuls, et ce qu'ils ont récupéré aidera certainement Emmaüs Val de Lys et ses bénéficiaires.
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Ils ont pensé à tout, y compris aux produits d'hygiène, ou encore aux couches... |
Surtout que la collecte a eu lieu en peu de temps. « Il y a quelques jours, comme on approchait du carême et que cette année est le deuxième anniversaire de la mort de l'abbé Pierre, j'ai proposé une réflexion sur la solidarité », explique Béatrice Ruyant, responsable de la pastorale de l'Institution. Et Mme Ruyant a été agréablement surprise par la réponse : être solidaires, pour les jeunes de cinquième et de quatrième, c'est « être acteurs ». « Ils m'ont expliqué que c'était bien de réfléchir et de faire des affiches sur le thème, mais que cela ne servait pas à grand-chose », reprend l'animatrice en souriant.
Voilà donc les petits cinquièmes et certains aînés de quatrième décidant d'organiser au plus vite une récolte de denrées, mettant des affiches partout dans l'établissement pour appeler à la solidarité, et, parfois, sur leur propre initiative, impliquant parents et voisins. Et ils ont pensé à tout, y compris aux produits d'hygiène, ou encore aux couches, qui leur semblent scandaleusement chères.
Bravo, donc, aux (pas si petits que ça) cinquièmes et quatrièmes de Saint-Jude, pour leur bel investissement ! "
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Catégorie : Collège
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Publication : vendredi 16 October 2015 22:42
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Écrit par La Voix du Nord - Samedi 7 février 2009 - M.T
Samedi matin, l'institution Saint-Jude et le collège Saint-Charles organisaient un forum des métiers. Au restaurant scolaire de l'institution, les élèves de collège des deux établissements étaient invités à rencontrer des professionnels nombreux, issus de secteurs variés.
L'occasion pour les jeunes gens de se faire, peut-être, une idée de ce que sera leur futur métier. "Que font tant d'élèves dans le réfectoire de Saint-Jude, un samedi matin, alors qu'il n'y a pas cours ? Ils préparent leur avenir, grâce au forum des métiers organisé par l'institution. Obligatoire ? « Ils y ont été fortement encouragés », sourit Françoise Lourme, responsable des troisièmes de l'institution.
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Antoine Marlière, un ancien élève, a expliqué son métier d'ingénieur aux jeunes gens intéressés. |
Orientation : l'embarras du choix
Les élèves de 3e, et même certains de 4e sont venus en nombre. « Pour les 6e et 5e, il est plus difficile de se projeter déjà dans l'avenir, c'est un peu tôt », ajoute Mme Leleu, enseignante à Saint-Charles. Toujours est-il que pour ceux qui étaient là, parfois accompagnés de leurs parents, il y avait le choix.
Les établissements environnants présentaient les formations proposées dans le secteur d'Armentières, après la 3e, lorsqu'il s'agit pour les jeunes de s'orienter une première fois, entre filière générale et technologique ou filière professionnelle.
On pouvait ainsi découvrir les belles réalisations des élèves de CAP « ébénisterie » du lycée Sainte-Marie de Bailleul ou s'informer sur la seconde « tremplin » proposée par Saint-Jude.
Professionnels et anciens élèves
De la police aux médecins, en passant par la comptabilité, le notariat la banque ou le commerce, les parents avaient répondu présents pour présenter leur métier, en tenant un stand et parfois en faisant une conférence, que les élèves avaient choisi de suivre en s'inscrivant quelques jours auparavant.
Des parents, mais aussi des professeurs, pour informer sur les filières supérieures dans lesquelles ils donnent parfois des cours, ou encore des anciens élèves, comme Antoine Marlière, qui, après un Bac S obtenu à Saint-Jude en 2002, est revenu parler de ses études et de son métier aux jeunes, trouver les mots pour dire ce qu'est un « ingénieur d'exploitation », et expliquer avec passion comment, au final, il fait tourner la centrale nucléaire de Gravelines.
Peut-être qu'avec d'autres, esthéticiens, profs, assistants sociaux, sages-femmes, avocats, ou informaticiens, il aura suscité des vocations. Comme eux tous, en tout cas, il aura certainement rendu un peu plus réels des métiers sur lesquels, à 15 ans, on n'a qu'une idée floue.
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