Pastorale

Les écoles Saint-Édouard - Saint-Nicolas réunies à la chapelle de Saint-Jude

Vendredi dernier, en présence de l'abbé Laurent Dubrulle, la chapelle de l'Institution Saint-Jude a accueilli tous les acteurs de la nouvelle école Saint-Édouard - Saint-Nicolas à l'occasion de la traditionnelle célébration de rentrée. « Ouvrir la porte, tisser des liens », tel en était le thème. "

En effet, depuis la rentrée, officiellement, les deux écoles Saint-Édouard-Saint-Bernard et Saint-Nicolas ne font plus qu'une en théorie, mais en pratique la nouvelle école ainsi créée repose encore sur deux lieux, deux équipes d'enseignantes, trois cours de récréation, deux cantines, etc. Donc comment faire pour ne faire qu'une, se connaître et se reconnaître ?

Quatre cents enfants se sont mobilisés avec les enseignants et les parents pour mieux se connaître et tisser des liens.

Invités par leurs professeurs à y réfléchir au préalable en classe, les enfants de chaque cycle ont produit textes et affiches et apporté leurs idées sur le sujet.

Trouver un nom

Avant la célébration, histoire de tisser des liens, ils ont échangé des bracelets en tissu : les plus grands venant à la rencontre des plus petits pour former des binômes. Et, symboliquement, deux d'entre eux, Louis (CM2) et Agathe (grande section de maternelle), ont ouvert ensemble la porte de la chapelle à leurs camarades.

Avec l'abbé Dubrulle pour témoin, toute l'année, l'équipe pédagogique veillera à organiser des échanges et à intensifier les liens entre les enfants des deux sites pour donner vie et sens à cette nouvelle école. « Nous essaierons ainsi d'être une école d'humanité au quotidien  », avance sa directrice, Bénédicte Soupault, en écho au thème proposé cette année par le diocèse.

À l'issue de la célébration, c'est aux parents cette fois, autres acteurs d'importance du projet, que les écoliers ont offert des bracelets. Enfin, les 400 enfants ainsi réunis ont chanté en choeur sous la direction de « Madame Christine », enseignante de CP, tandis que Lionel Houzet gérait la sono et réalisait un petit film qui sera proposé aux parents en souvenir.

D'ici la fin de l'année, le Conseil d'établissement se réunira pour réfléchir au futur nom de cette école.

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Avec l'ABH du Train Rouge à Lourdes, le mot brancardier prend du sens

L'assemblée générale de l'Association des brancardiers et hospitalières du Train rouge à Lourdes a eu lieu vendredi soir à la Maison du temps libre. Cette association a pour but, ponctuellement, de mettre en place un accompagnement de malades pour un pèlerinage à Lourdes dans le cadre du pèlerinage diocésain. Elle a pour mission d'apporter aussi, tout au long de l'année, du réconfort auprès de ceux qui souffrent en rendant des visites au domicile des malades ou en maison de retraite. "L'objet principal de la réunion du jour était la fin du mandat de cinq ans du président, Jean-Claude Segard, dont le successeur sera désigné lors de la réunion du conseil qui aura lieu le jeudi 23 février.

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L'asso Culture et Intégration d'Armentières : « L'important, c'est de ...

... connaître et de se connaître ». Mohamed Bekkouch est prof de sciences physiques à Saint-Jude ... "... et au lycée Averroès de Lille. Youssef Naanaa, lui, est chauffeur-routier. Tous deux ont en commun d'être musulmans, d'origine marocaine et d'appartenir à l'Association Culture et Intégration d'Armentières et environs. À quelques jours de la conférence qu'organise l'ACIAE à Armentières et qui sera animée par Amar Lasfar, le recteur de la mosquée Al Imane de Lille, nous avons demandé à Mohamed Bekkouch et Youssef Naanaa de nous éclairer sur cette association peu connue d'Armentières.

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