Quand Saint-Jude s’empare de l’environnement, ça donne « the ESSJ green day »

Avec le Randonneur-club marcquois, on pouvait notamment apprendre à réparer son vélo

Mardi, pour sa deuxième édition, la Green day made in Saint-Jude s’est installée à la salle Marie-Lecocq. Avec une matinée dédiée aux conférences et un après-midi ateliers.

C’était la deuxième édition mais la première dans la cité de la Toile. Ce mardi, c’est donc à la salle Lecocq, à domicile finalement, que l’institut Saint-Jude, plus précisément la branche enseignement supérieur, s’est donc installé pour ce que tout le monde espère ici voir devenir un rendez-vous traditionnel, « the ESSJ (pour enseignement supérieur Saint -Jude) green day ».

« C’est vraiment un projet 100 % étudiant, souligne Thierry Miquel, directeur adjoint de l’enseignement supérieur à Saint-JudeCette journée, autour de l’écologie, entre parfaitement dans l’ADN de Saint-Jude. » Aux manettes, ce sont quatre étudiants de BTS, épaulés par des mastères manager de projet, qui, depuis deux ans, organisent et animent ce forum vert avec la collaboration, cette année, de la ville et du club Noé. « Avec, pour objectif, de parler de l’écologie. Autant celle qui concerne les entreprises mais aussi celle à appliquer au quotidien, résume Carole Sartorius, professeur d’anglais. Le but, c’est de toucher tout le monde, de l’industriel au consommateur et aussi les jeunes. »

Tables rondes et ateliers

Alors, à la salle Marie-Lecocq, des tables rondes ont été organisées le matin autour de deux thématiques, le mieux vivre la transition écologique au travail et le mieux consommer. L’après-midi, plus ludiques, ce sont des ateliers qui attendaient les visiteurs, notamment les lycéens et collégiens du secteur, tous invités. Comment réparer son vélo avec le Randonneur-club marcquois, comment recycler les textiles avec Les Récoupettes ou Id-Tiss, comment exploiter les fruits et légumes « moches » avec la Cuisine de Jeannette… Tout un tas de bonnes pratiques expliquées, mises en œuvre et partagées.