St Jude a fait son « salon de l'étudiant » pour déblayer le terrain !

Vendredi 23 novembre 2012 après-midi, l'Institut Saint-Jude a investi son restaurant scolaire pour organiser, à domicile, son mini-salon de l'étudiant. "Ce forum des études a été mis en place afin que les élèves puissent avoir une première approche de leur orientation future avant de se rendre au véritable salon de l'étudiant, mi-janvier, et avant les portes ouvertes organisées par les différentes écoles supérieures.

Ainsi, ce sont plus de 80 filières post-bac qui étaient représentées pour les domaines scientifique, du commerce, du marketing, de la communication, du médical, en études courtes (BTS, DUT) comme en études longues (classes préparatoires aux écoles d'ingénieur, universités). Quelque 600 élèves de Première et de Terminale de l'établissement étaient concernés.

L'armée et la police tenaient également des stands sur lesquels nous avons rencontré Maud Pillois, élève de Terminale S au lycée Saint-Jude, à qui nous avons posé quelques questions.

 

Plus de 80 filières post-bac étaient représentées: de quoi trouver chaussure à son pied !

 

À quel métier vous destinez-vous ?
« J'aimerais travailler dans la police scientifique, la criminologie. C'est vrai que les séries télévisées comme Les Experts ont peut-être influencé mon choix. Mais la raison pour laquelle j'ai choisi cette voie réside dans la recherche de la vérité et dans le désir de rendre justice grâce au développement des nouvelles technologies mises à la disposition des techniciens de la police scientifique. »

Ce forum a-t-il répondu à toutes vos questions ?
« Oui, pleinement. Je me suis renseignée pour savoir d'abord comment entrer dans la police. Il me faut un bac + 2. Je vais donc déposer un dossier auprès d'écoles qui préparent à un BTS ou à un DUT en biologie. Il y a en quatre dans le secteur et j'ai une préférence pour Valentine-Labbé à La Madeleine que je mettrai donc en premier voeu. Après l'obtention de ce diplôme, je passerai le concours de technicien en police scientifique. Je suivrai alors une formation spécifique en tant que stagiaire à Lyon ou à Toulouse et mon affectation dépendra de mon rang de concours. »

Avez-vous une solution de rechange en cas d'échec ?
« Il est vrai que je ne suis pas à l'abri d'un échec au concours ou parce que, finalement, en cours de route, je change d'avis sur ce métier. Mon deuxième choix, sans hésiter, c'est d'entrer dans l'armée. Ce n'est peut-être pas banal mais, dans mon cercle familial - ceci explique peut-être cela -, j'ai un grand-père général et mon père est lieutenant ! »

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