St Jude veut développer les échanges européens et l’autonomie de ses élèves

L’institution Saint-Jude ouvrait ses portes aux familles le samedi 8 février 2014. Pour cette demi-journée de découverte, les familles se sont présentées en nombre : cours, salles et couloirs n’ont pas désempli de la matinée. "Outre les renseignements pratiques (tarification, programmes), les familles ont notamment pu rencontrer les professeurs de chaque classe et l’association des anciens élèves. Comme le rappelait Nicolas Carlier, chef d’établissement, Saint-Jude se renouvelle en permanence : les deux cours intérieures ont par exemple été entièrement refaites afin d’ajouter de la verdure au cadre de vie (l’une est terminée, la seconde le sera dans le courant de l’année), et « près de 80 % de l’établissement est accessible aux personnes en situation de handicap ».

Nicolas Carlier, chef d'établissement, et des élèves ayant participé à un programme d'échanges.
Lao, robot entièrement construit et programmé par des élèves de première et terminale, est un peu devenu la mascotte de la journée.


Les installations ayant le plus impressionné les visiteurs étaient sans doute celles des classes de sciences de l’ingénieur (enseignement d’exploration) où un robot, qui s’appelle Lao, entièrement construit et programmé par des élèves de première et terminale, est un peu devenu la mascotte de la journée ! Capable de se déplacer et de parler, Lao, en véritable hôte, pouvait se présenter lui-même et dévoiler l’institution Saint-Jude.

Plus de partenariats avec l’étranger
 
Thomas, venu visiter en famille l’établissement pour faire son choix pour l’an prochain, a été séduit par cet enseignement d’exploration. Farrah, de son côté, a préféré le programme des cours de méthodes et pratiques scientifiques qui s’organisent notamment autour du thème de l’investigation policière. « C’est original, ça donne envie de s’impliquer dans les sciences », notait la jeune fille.

Autres volets mis en avant par Nicolas Carlier : l’ouverture à l’international et les échanges européens. Le chef d’établissement entend développer les « partenariats avec des collèges et lycées étrangers, stages et voyages de découverte ». Un stand était d’ailleurs tenu par quatre élèves ayant passé plusieurs mois en Espagne et en Slovaquie. « Vivre et étudier dans un pays étranger nous a fait gagné énormément en autonomie et en maturité », assuraient les adolescentes."